You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger
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Alex Lauzon
Maison Drathem
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Sujet: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Lun 25 Mai - 9:12
You saw yourself when drank you ?
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▬ Je pensais t'avoir fait comprendre que j'étais pas intéressé...
Tu t'étais surement trop approcher du soleil et maintenant tu te brulais littéralement, une douleur intense se propagea dans ta poitrine, ses mots te firent mal, très mal. Tu en allais presque pleurer même, car dans tes souvenirs tu n'avais jamais été rejeté par un homme, ni une femme d'ailleurs, tu savais qu'il serait plus dur que les autres, tel un homme intouchable, pourtant tu gardas cette folle envie de l'avoir pour toi tout seul. Sa main froide te donna un petit frisson de bien-être, celle-ci posée sur ton torse encore brulant, il te faisait reculer, à ce moment tu te disais que tu avais perdu, tu n'avais pas réussi, te brulant les ailes en voulant trop approcher le soleil, doucement tu te sentis gênée, prenant un air triste exagérer. Tu avais toucher à un certain endroit, mais rien à faire, même s'il fut surpris, il te bloqua le poignet, encore une défaite, tel un goût amer. Puis d'un coup tout bascula, il se rapprocha de toi, il prit aussi tes mains, serais-tu en trin de rêver ? Comme il t'a en quelque sorte recalé, tu rêvais à une éventuelle autre suite, mais pourtant, la chaleur de ses mains dans les tiennes était réelle.
▬ Ok Alex, on va dans ma chambre... Suis moi.
Tu le voyais prendre doucement un air plus charmeur, bizarrement tu te sentis satisfait, tu pensais bêtement que tu avais réussi, tu n'avais pas la capacité de réfléchir comme d'habitude, alors tu souriais bêtement, tel un vainqueur. Tu sentais une main au niveau de tes reins, puis voilà qu'il te tire, tu te laissas faire, un ricanement sorti entre tes lèvres, tu te laissas faire telle une marionnette, dans ton état, tu ne pouvais faire que ça. Soudainement ton cerveau fit déconnecter, perdue dans tes rêves un peu fous, tu avais l'impression de flotter, pendant que ton blond te guidait, puis un bruit strident te réveilla, te faisant sursauter, ton cerveau se remit en marche, alors tu vis une porte, une chambre, surement celle de Kenneth, car ça ressemblait pas à la tienne. D'un regard lent tu fixas l'intérieur de la chambre, tu réfléchissais.
▬ Commence à te déshabiller, je te rejoins vite. ▬ Hm....D'accord....
Tu n'allais pas chaumer là-dessus, c'est ce que tu te disais, tellement que tu avais chaud, tu le fixas, lui qui avait un sourire charmeur, te donnant une bise sur ta joue encore brulante, tes yeux s'écarquillent de surprise, rougissant. Docilement tu entras dans la chambre, peur au ventre, tu sentais qu'il allait t'abandonner, te laisser pour compte dans cette chambre, tu ne voulais pas, tu n'aimais pas, cela te rappelait ta mère et tu détestais ça. Mais malgré tout ça tu lui fis confiance, le voyant partir, alors que toi tu étais debout dans la chambre. Alors c'était ça, sa chambre ? Tu notas chaque détaille malgré ton état, sans comprendre tu tombas lourdement sur le lit, poussant un gémissement de soulagement. Tu devais pas te déshabiller ? Ah si. Tu fis un large sourire, satisfait en ricanant de plus belle. D'une façon brutale tu enlevas la chemise qui valsait dans la pièce, doucement tu déboutonnas ton pantalon relâchant ainsi la pression sur ton entrejambe tendue, ce qui te fit soupirer de soulagement autant que de plaisir, tu n'attendis pas longtemps avant d'enlever ton pantalon, puis ton boxer, te voilà nue, allonger dans le lit, tu profitas pour regarder ta peau meurtrie par les coups que ton père t'avais donnés à l’époque, s'il t'avait fait que ça, mais non, tu étais de blesser de partout, il avait fait de toi ce que tu es maintenant, avec un peu l'aide de ta mère, assez vite tu les oublias, fixant ton reflet dans un miroir, tu te redressas avec difficulté, quittant ainsi le lit, tu te regardais.
▬ Mon pauvre... Tu es pathétique ainsi.
Disais-tu à ton reflet dans un sourire gêné, soudainement tu ricanas avant de lâcher un long soupir, attendant ton blond, pour ainsi profiter de lui. Alors tu te mis dans le lit, allonger sur le dos, la couverture couvrait la moitié de ton corps, tu l'attendais avec une certaine impatience. Te rappelant la dernière fois que tu l'avais fait, sa remontait bien avant d'entrée ici. Puis tu te t'ennuyais là, alors tu agitas tes pieds violemment, d'un air boudeur tu crias à pleine voix de ta voix bourrée.
▬ KENNYYYYYYYYYYYY !
Bon au moins tu avais pu l’appeler, tu allais presque réveiller tout le monde et cette pensée te fie marrer, alors tu rigolas comme un con dans le lit, les vêtements par terre, tu fixais le plafond, tu allais le faire chier jusqu'au bout avec ça le pauvre. Tu profitas d'être allongé pour frotter ton visage contre le coussin, te disais que c'était le coussin de Kenny, tel un enfant tout heureux, tu paressais comme un enfant innocent avec ton visage tout joyeux, ce qui n'allait pas forcément avec le contexte.
ALEX LAUZON #96C254
KENNETH LEDGER #77B5FE
Kenneth Ledger
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Mar 26 Mai - 2:28
there, there
kenneth & alex
L'eau coule en torrent du robinet, disparaissant dans l'évier quand un long grognement métallique. Quelques gouttes viennent s'éclater sur tes avant-bras aux mains toujours fermement agrippées au bord du lavabo. Ils tremblent un peu alors que tu regardes toujours ton reflet qui prend vie en face de toi. L'image que tu renvoies te fait peur et cette constatation te procure un frisson désagréable le long de ton échine. T'as la peau blafarde, tant que t'as l'air d'un corps inanimé recouvert de son linceul blanc.Tes cheveux blonds sont, comme d'habitude, en bataille sur ta tête, ayant été modelés par les doigts fins d'Alex qui se sont amusés à passer et repasser inlassablement dedans. Puis y'a tes yeux aussi. Deux billes qui ont perdu tout éclat, ternes et à la couleur azuréenne. Parfaite symbiose avec le violet qui souligne tes iris, preuve de ta vie nocturne et de tes escapades sous les étoiles. Témoignage aussi de la maltraitance que tu portes à ton enveloppe charnelle. D'un coup de paume, tu éteins l'eau, ramenant le silence dans la pièce que tu viens fermer ensuite à double tour. Par simple précaution, tu crois.
Tes mains viennent glisser le long de ton corps meurtrie et ankylosé, découvrant celui-ci en attrapant les pans de ton haut que tu remontes lentement. Tu jettes ensuite le vêtement sur le sol, à tes pieds. Tu dévoiles ainsi un torse parfaitement imberbe, marqué par les coups de la vie, les coups du hasard et ceux que tu lui portes volontairement. Des cicatrices fines, un peu roses, parsèment cette peau trop pâle, accompagnées de quelques brûlures de cigarette. Ta dépouille est le vestige de toutes tes conneries, de toutes les fois où t'as cherché à te pousser plus loin, à te surpasser encore plus et toujours. Inlassablement. Tu te remémores ces montées d'adrénaline, la sensation d'un liquide chaud s'échappant de ton organisme. De sa source même. C'est aussi bon que ça fait mal. Mais tu crois que t'as jamais regretté ce que tu as entreprit dans ta vie. Pas une seule fois. Parce que ça été voulu, soit par toi, soit par une divinité quelconque. À cette pensée, l'une de tes mains vient recueillir la croix d'argent pendue à ton cou et le petit médaillon qui l'accompagne. Un objet à grande valeur sentimental pour toi. Une chaîne dont la boucle ne quitte jamais ta nuque raide.
Tu continues ta lente descente aux enfers, saisissant cette fois ton pantalon dont tu baisses le zippe et déboutonne avant de le faire glisser le long de tes jambes. À la place, un jogging gris, un peu trop grand pour toi, que tu enfiles rapidement, le laissant tomber machinalement sur tes hanches. T'es prêt. Prêt à quitter ce monde pour aller te faufiler sous tes draps qui sentent bon la lessive et dont la douce effluve te bercera jusqu'à la contrée des songes. Mais pour conquérir cet univers là, surplombé par la voie lactée et l'aurore vêtue de sa robe d'astres, tu dois affronter à nouveau la situation que tu as lâchement fui. Ce rappel te fait à nouveau paniquer, tendant chaque fibre de tes muscles. Une porte de placard s'ouvre alors, dans un pur automatisme de ta part, sur ta boîte de pharmacie. Tu fouilles dedans avant de saisir un peu au hasard une plaquette. Une. Non. Quatre pilules que tu ingurgites aussitôt, buvant ensuite à grandes lampées l'eau que tu as rallumé au passage. Ça va te calmer, tout ira bien. Tout va toujours bien. T'as juste pas l'habitude de ressentir ce genre d'émotion forte. Celle de la peur. Parce que rien ne t'effraie en général. Quand t'es sobre, du moins. Mais la redescente ne se fera pas maintenant et tu ne peux pas le laisser seul, à l'agonie et sous l'influence désastreuse de l'alcool. Préparant un gant mouillé d'eau froide, tu sors de la salle de bain en inspirant profondément. Tu sais que, bientôt, ça fera effet et que tu vas sentir tes muscles se relâcher avec une sensation agréable.
▬ Hm, Alex ? Je suis l... ▬ KENNYYYYYYYYYYYY !
Tu sursautes, portant une main à ta poitrine où ça cogne fort fort. T'as pas eu le temps de finir ta phrase qu'il hurle à la mort, t'appelant à plein poumon. Une boule de nerfs, d'envies insatiables et d'impatience. Tu plisses les yeux pour distinguer quelque chose dans la pièce sombre, marchant sur ce que tu devines être les vêtements d'Alex. Enfin, tes genoux viennent se cogner au lit et tu t'assois dessus pour le rejoindre. Tu attends quelques secondes que tes yeux se fassent à l'obscurité pour découvrir le Drathem entièrement nu, à moitié couvert d'un drap fin. Un instant, tu bloques sur cette vue avant d'en détourner le regard pour le poser sur son visage que tu présages être rouge. Doucement, tu poses le revers de ta main sur son front brûlant, la remplaçant ensuite par ton gant humide.
▬ Là, là... Je suis là. Ça va aller, ok ?
Tu lui parles d'une voix douce, un peu comme une mère à son enfant après un mauvais rêve. Tu mouilles son visage, dégageant celui-ci de quelques mèches qui viennent se coller sur sa peau. Tu espères que ça va le calmer un peu, mais tu sais bien qu'il faudra un long moment, le vert étant en pleine montée. Après l'avoir plus ou moins débarbouillé, tu passes ensuite le gantelet dans ton cou, retraçant ses clavicules avant de passer sur son torse qui se soulève à un rythme effréné. T'as l'impression de revivre cette scène pour la millième fois. Tu ne comptes plus le nombre de fois où tu as ramené un ami chez toi pour t'en occuper le temps qu'il décuve. Tu ne comptes plus le nombre de fois où tu t'es retrouvé dans ce genre de situation ambiguë. Et pourtant, cette fois, ça t'a l'air tellement différent, avec Alex.
electric bird.
Dernière édition par Kenneth Ledger le Ven 29 Mai - 1:32, édité 2 fois
Alex Lauzon
Maison Drathem
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Mar 26 Mai - 16:26
You saw yourself when drank you ?
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Tu l'avais aperçue dans le noir total, toi qui avais des yeux de chat. Tu le vis s'avancer, tu en étais tout heureux, tu te disais que tu allais pouvoir gouter au plaisir avec un beau blond que tu appréciais beaucoup.
▬ Kenny ! Kenny !
Disais-tu en ricanant, tout heureux de le voir enfin, il t'avait pas abandonnée et cela te faisait plaisir. Les yeux grands ouverts, tu le voyais s'approcher de lit et s'assoir à coté de toi, tu n'hésitas pas à le coller, lui offrant un câlin de ta part en ricanant tout heureux, puis tu fermas les yeux en penchant ta tête, attendant un baiser de la part du blond, mais non, ce fut un vieux gant mouiller et froids, tu sursautes en sentant ce truc sur ton visage, rafraichissant ton visage, sauf que toi tu voulais pas ça, tu savais que ce genre de chose c'était pour te ramener à cette putain de réalité que tu n'aimais pas forcément, sur il ne voulait pas coucher avec toi, il t'avait menti et cela te foutait en rogne, tu en étais déçue. Tu lui offris une grimace horrible, tu tournas la tête de gauche à droite pour qu'il arrête, l'écoutant dire que ça va aller, mais non, toi tu voulais te payer du bon temps, pas qu'il te fasse la toilette, tu n'aimais pas ça d'ailleurs, fronçant les sourcils pour montrer ton mécontentement, tel un gosse capricieux qui n'avait pas eu ce qu'il voulait, tu fis une mine boudeuse, puis voilà qu'il passa dans ton cou, puis ton torse, sentir quelque chose de mouiller et de froids sur ta peau te donna un frisson de plaisir, celui-ci parcourra ton corps, te laissant fébrile. Ton torse était une zone sensible, tu en avais bien d'autres mêmes, alors bien sûr, tu poussas un gémissement de plaisir non contrôler, quoique, tu l'aies exagéré pour montrer à Kenny que tu étais bien excité, tu sentis même ta partie basse durcir tout doucement, sans tant rendre vraiment compte tu t'excitais tout seul. Mais le gant, tu l'aimais pas, Ru voulait qu'il parcoure ton corps sans cette chose froide, alors d'un geste vif tu le pris et tu le balanças à travers la chambre, d'un air boudeur tu fixas ton blond.
▬ NON ! JE NE VEUX PAS DE CA !
Tu criais ça de ta voix énervée, puis doucement tu te calmas, dans une respiration saccadée, doucement tu fixas l'apparence du blond, découvrant ainsi cette belle vue que tu avais eu le droit, un large sourire étira tes lèvres, tu admirais chaque courbe que ton œil ambré pouvait voir, voir se torse imberbe te donnait envie, réellement envie, de plus cela te donnait une autre image de ton blond, lui qui était toujours couvert de vêtements, cachant ses magnifiques courbes là tu étais heureux et d'ailleurs tu n'hésitas pas à souffler quelque compliment en les pensant réellement.
▬ WOOAAAAA ! Ce que tu peux être beau... Je pensais pas que tu avais un si beau torse !
Disais-tu de ta voix enfantine avant de lui adresser un sourire enfantin, ricanant même, puis tu plissas les yeux, voyant autre chose, ses cicatrices que tu regardais avec attention. Tu te disais que tu n'étais pas le seul à en avoir, d'ailleurs tu jetas un tel coup d'œil aux tiennes, même si c'était ton dos qui avait le plus souffert, tu en gardais quelqu'une sur tout ton corps meurtri. Tu en étais tellement fasciné de son torse que tu ne fixais même plus son visage, ton regard resta bloqué sur ce torse imberbe, finement musclé, d’ailleurs tu tendis ta main sans demander ou même sans hésiter, tu posas tes doigts sur celui-ci, effleurant du bout des doigts se torse, tu retraçais sa musculature, puis ses cicatrices, tu parcourais ainsi le torse du blond, puis tu n'hésitas pas à poser complètement ta main dessus, cet effleurement se transforma en caresse sensuelle, tu appréciais doucement ce contact, tu sentais cette peau brûlante sous tes doigts fins, notant cette musculature finement tracée. Mais une question se posait en toi, te mordant la lèvre inférieure, tu la posas même d'un air sérieux.
▬ Dit Kenny... Toi aussi tu as eu un père violent ? Enfin ses citatrices... Elle vienne d'où ?
Tu voulais attendre sa réponse, mais trop tard, tu te laissais encore emporter par cette envie folle, tu étais déjà excité, puis le caresser ainsi n’arrangeais pas les choses, tu en voulais toujours plus. Alors d'abord tu devais faire diversion. Doucement tu t'approchas de lui, ainsi ton visage était à quelque centimètre en face du sien, puis dans un murmure tu balanças ses mots.
▬ Kenny.....Je t'aime....
Tu avais juste dit ça pour le troubler, ainsi tu en profitas pour plaquer tes lèvres contre les siennes, profitant encore de ce contact, de ses lèvres douces. Mais tu en voulais toujours plus, alors tu passas ta langue sur ses lèvres avant de forcer dessus pour laisser pénétrer ta langue dans sa bouche, doucement tu parcourras une nouvelle fois sa bouche, câlinant quelquefois sa langue avec la tienne, un baiser tendre et passionner, profitant de ce moment pour le caresser plus sensuellement, c'était ta diversion, tu pouvais faire ce que tu voulais vraiment faire maintenant, alors avec une certaine hésitation, tu parcourras ton torse, donnant une douce caresse, tu descendis bien bas jusqu’à son bas-ventre, puis tu hésitas avant de passer en dessous le jogging gris, bien sûr le blond avait pensé à garder son boxer, mais tu passas tout de même ta main sur celui-ci, effleurant du bout de tes doigts se tissu, tu sentais cette bosse que tu connaissais parfaitement, tu voulais l'exciter affin qui te saute dessus et assouvisse ses pulsions animales, tu le savais, tout hommes avait ce genre de chose et le blond n'était pas une exception. Tu fis un large sourire satisfait avant de continuer de câliner sa langue. Puis d'un coup tu quittes ses lèvres, écartant son visage du tien.
▬ C'est con... Tu es tombé sur un Homo très têtue...
Tu étais maintenant assis, nue et à coté de lui, sauf que tu penchas le haut du corps, approchant ton visage de son bas-ventre, doucement tu posas ainsi le bout de ta langue contre celui-ci, léchant sa peau sucrée. Puis tu le fixas longuement, enlevant ta main qui avait caressé cette bosse sans vraiment s'arrêter. D'un coup tu redressas le haut de ton corps, te trouvant encore assis à coté de lui, tu l'entouras de tes bras encore tremblants, l'enlaçant ainsi tel un sublime câlin, un large sourire amuseur étira tes lèvres.
▬ Alors ?
Tu en devenais tellement impatient, alors que tu souriais tel un innocent, ce qu'il n'allais pas forcément avec le contexte, mais tu avais l'air si enfantin quand tu étais bourré. Doucement tu posa encore une fois tes lèvres sur les siennes, un baiser plus chaste, ce fut très rapidement même. Puis d'un coup tu criais dans ses pauvres oreilles.
▬ KENNY ! KENNY ! ALLERRRR !
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Kenneth Ledger
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Ven 29 Mai - 1:31
first round
kenneth & alex
Poings fermés, serrés. Ça tape, donne des coups dans le vide et t'en encaisses quelques uns au passage, sans broncher. Ta respiration se bloque parfois et la sensation de mouiller disparaît de ta main. Son couvre-chef s'est fait jeté à l'autre bout de la pièce et t'essayes tant bien que mal d'attraper les poignets d'Alex pour l'arrêter. Il crie, s'époumone dans des refus catégoriques. Il ressemble à un gosse. Un gosse capricieux.
L'avantage, avec ce genre d'enfant, c'est que tu peux les calmer rapidement et avec n'importe quoi.
Dans son cas, il avait été privé de caresses luxurieuses et de quelques soupires de plaisir mais avait trouvé son lot de consolation avec la vue de ton torse dénudé. Maintenant, il te bouffe littéralement des yeux, un presque filet de bave au coin de la bouche. Une transition étonnante digne d'un cyclothymique. Tu le relâches sans pour autant te détendre, anticipant ses réelles intentions cachées derrière ce sourire sulfureux. Ses iris se promènent sur ta peau blafarde et striée de petites cicatrices et t'as l'impression que ce regard se transforme en toucher indécent que tu peux quasiment sentir parcourir ton épiderme. Ça te procure une sensation de malaise. Légère, mais présente. Tant que tu as de plus en plus de mal à affronter ses prunelles d'or.
Ses lèvres s'entrouvrent et ce que tu as deviné sans mal s'écoule désormais dans un flot de paroles, murmuré sensuellement. Il fait l'éloge de ton physique que tu trouves si laid, qui te répugne. Tu te sais sale, déplaisant à regarder. Parait qu'y a que toi qui te juge aussi sévèrement. Mais ça a toujours été ainsi, au final. Pourtant, tu ne comptes plus le nombre de fois où on t'a dit que t'avais une gueule d'ange. Si seulement.
Quelque chose de froid se pose sur ta peau brûlante et tu sursautes légèrement, revenant rapidement dans ce monde qui t'est étranger. L'effleurement se transforme en caresse qui parcourt ta chair avec une lenteur calculée. Doucement, tu manques de basculer à nouveau dans un soupir. Tes muscles et tout ton corps se relâchent après avoir avalé ces quelques pilules, encouragés par les flatteries osées du Drathem. Ses doigts deviennent des mines, des crayons fins qui retracent les courbes de ton être et te fait tressaillir imperceptiblement. Les bras ballants, les yeux mi-clos, tu te laisses aller dans cette descente et cette intimité secrète que sont ses gestes. C'est bon, agréable. Tu sens la pulpe de ses doigts ne rater aucun détail. Alex s'attaque à tes cicatrices et tes souvenirs te font ressentir à nouveau la douleur que tu as connu pour chacune d'elles.
▬ Dis Kenny... Toi aussi tu as eu un père violent ? Enfin ces citatrices... Elles viennent d'où ?
Lentement, tes paupières s'entrouvrent pour le contempler. T'as envie de lui dire de se taire, qu'il parle trop. Qu'il n'a pas à savoir ça, parce que si tu disais la vérité, tu passerais pour un fou. T'as envie mais rien ne vient parce que tu bloques. Tu bloques sur le « toi aussi ». Alex baisse la tête un instant pour se regarder avec un air d'enfant un peu perdu, un peu déstabilisé. C'est à ce moment que tu les vois enfin. Ces immondicités, témoins d'un père trop violent. Tu imagines le petit corps frêle d'Alex, encore bambin, recroquevillé et martelé par les poings d'un homme. Tu te sens soudainement incroyablement mal, et un rejet te court jusqu'au bord des lèvres, bien que tu arrives à te maîtriser pour ne pas vomir toute cette injustice. Si tu avais pu, tu aurais été un justicier. T'aurais sauvé des vies, tu le sais.
▬ Kenny.....Je t'aime....
Ces trois mots te donnent un frisson douloureux le long de ton échine. On te les a rarement soufflé, et tu sais pourquoi. Parce que t'aimes pas vraiment ça. Enfin, si. Mais pas dans ce genre de situation. Et encore moins quand tu sais qu'il ne le pense pas vraiment. Tu le sais, tu le sais. Il n'est pas amoureux de toi, il t'aime comme toi tu l'aimes. Rien de plus. À une différence près : il aime aussi ce que tu pourrais lui offrir le temps d'une nuit.
Il joue de toi.
D'un coup, sans crier gare, Alex réduit à néant la distance que tu avais mis précédemment entre vous pour venir contre toi, ses lèvres cherchant les tiennes. Il ne met pas longtemps à trouver l'objet de sa convoitise et à nouveau, tu ne dis rien. Tu te laisses faire, comme un pantin. Et ce, pour une raison bien précise : ça te rappelle lui. Tu le vois à la place d'Alex, entend sa voix au lieu de la sienne. C'est étrange, étonnant, cette sensation. Cette sensation de savoir qu'on est en proie à une hallucination. Tu crois que t'as fini par t'y habituer.
Rapidement, Alex se fait plus pressant. À nouveau. Inlassablement. Sa langue franchit la ligne interdite pour venir cajoler la tienne. Tes bras viennent encercler sa taille et tu soupires contre sa bouche en le tirant vers toi. T'as l'impression que quelqu'un contrôle ton corps, que tu n'en es plus maître, que ce sont les mains du Drathem qui le dirige sous ses fébriles caresses. Elles descendent toujours plus, s'aventurent davantage en terre inconnue dont elles réveillent les plaques tectoniques et les écoulements de lave. Tout ton être se tend, s'électrise et s'agite sous les contacts incessants du vert. Un hoquet de surprise vient mourir entre vos lèvres scellées quand il vient timidement déposer sa main sur ton intimité, passant outre ton jogging, tout juste protégé par ton boxer. Il éveille en toi tes instincts les plus primaires et tu grognes presque de plaisir, te sentant grandir sous son dextre qui te câline toujours. Alex choisit ce moment pour se retirer. Il a parfaitement bien calculé son coup car déjà, tu sens une douleur légère et familière s'immiscer en toi. La pire qu'un homme attisé puisse connaître.
▬ C'est con... Tu es tombé sur un homo très têtue...
Pour appuyer sa réponse, il se penche et sa langue vient parcourir ta peau, juste au dessus de l'élastique de ton vêtement. Putain, ça va te rendre dingue. Ses bras t'entourent, et il insiste :
▬ Alors ?
Tu serres les dents. Tais-toi.
▬ KENNY ! KENNY ! ALLEEEZ !
Tes doigts s'agrippent au drap machinalement et tirent doucement dessus. Tais-toi !
L'homme, au fond, ne reste qu'un animal. C'est ce que tu penses alors que tu te jettes sur lui pour le renverser sur le matelas qui grince presque sinistrement. Tout ton corps, ta masse, vient s'écraser sur lui. T'as l'air furieux. Aussi furieux qu'excité.
▬ Je t'offre la victoire pour ce round. En revanche...
Tu te penches vers son visage, embrasse le coin de sa mâchoire avant de mordre furtivement son cou pour remonter jusqu'à son oreille.
▬ L'issu de ce combat me revient, et y'aura pas de combat final.
Traduction : Je te donne le droit de croquer un morceau de moi, mais aucun de nous deux possédera l'autre. Tu sais que ça va pas lui plaire, qu'à la fin, il voudra quand même plus, toujours plus. Aller plus loin que ce que tu t'es toujours autorisé avec un homme. Mais tu marches comme ça, et tu veux pas dépasser cette frontière que tu as franchi seulement avec la gente féminine. Parce que t'es pas de ce bord là. Pas du même bord qu'Alex. T'as toujours été juste curieux. Et influencé par tout un tas de produits nocifs qui te rend sensible, faible, inconscient.
À cette conclusion, tu lui lances un regard sévère, sourcils froncés et tu étends un peu plus ton corps sur lui.
electric bird.
Alex Lauzon
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Ven 29 Mai - 3:14
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Tu t'étais une nouvelle fois acharnée sur lui, montrant ton putain de caractère, têtue comme tu étais, tu n'arrivais tout simplement pas à renoncer à tes instincts primaires qui se réveillaient doucement. D'un geste brutal il tira sur les draps, enlevant ainsi toute cachette que tu pouvais avoir envie d'utiliser si cela se passait mal, tu sentais une certaine rage montée en lui cela t’effrayait un peu, te rappelant la haine que ton père éprouvait envers toi, toi qui ressemblais tellement à ta mère, tu étais tel un animal apeuré, tu n'étais qu'un homme soumis qui était en manque, tu avais simplement insisté pour réveiller le prédateur qui était dans le blond, un hétéro restait celui qui menait la danse, tu le savais pertinemment, que toi, tu étais simplement celui qui subissait. Tu fus d'ailleurs surpris en laissant un hoquet de surprise sortir de tes lèvres, il se jeta sur toi, allongé maintenant sur celui-ci avec une masse sur toi, tu te délectais de cette pression qui t'offrait une certaine chaleur, un corps sur toi ne pouvait que t'exciter encore plus, malgré cette surprise, tu pensais simplement qu'il allait te dire d'arrêter ou partir, mais de là à te répondre, ce fut plutôt une agréable surprise pour toi
▬ Je t'offre la victoire pour ce round. En revanche...
Tu l'écoutas malgré le fait que tu étais occupé à le regarder en détaille, te délectant de ses courbes, ainsi que son visage qui semblait énervé, tu vis ton blond sous un autre angle, cela en devenait presque effrayant, de voir une autre facette cachée d'une personne aussi calme que lui, tu étais tellement curieux, mais ton état t’empêchais bien de lâcher des questions ainsi que de réfléchir à une certaine supposition. Dans cette belle nuit, tout ce qui comptait pour toi était le plaisir, tout simplement t'adonner à un homme et recevoir en retour. Pendant que tu étais perdue dans tes pensées, le blond n'hésita pas à s'approcher de toi, posant ses lèvres sur le coin de ta mâchoire avant de te mordre furtivement le cou, tu laissa simplement un couinement de plaisir s’échapper de tes lèvres, puis il remonta vers ton oreille, sentant son souffle chaud au creux de ton oreille.
▬ L'issu de ce combat me revient, et y'aura pas de combat final.
Sentir sa voix vibrer en toi, captant chaque mot qu'il avait pu te dire. Ce fut telle une douce mélodie pour une si belle victoire, quoique, tu n'eusses pas le droit de le croquer entièrement et cela te gênait en quelque sorte, ton appétit était insatiable, tu voulais le dévorer entièrement, tu serais prêt à jouer les gourmands devant lui, mais pour l'instant tu pouvais te contenter de cette maigre récompense, te léchant les lèvres avec un certain appétit.
▬ On verra bien. On m'a toujours dit que j'étais un bon tricheur.
Disais-tu de ta voix joueuse, donnant un ton presque mielleux. Tout ça c'était un simple jeu dont tu pouvais prendre plaisir, rien de plus, rien de moins, il est sur que tu poussais tout dans cette excuse banale du "j'étais bourré". Mais tu ne savais même pas si tu allais le jouer vraiment, hésitant même dans ton état, alors que le blond semblait déjà avoir établi une ligne, mais tu ne voyais aucune ligne, aucun interdit, tu voulais juste recevoir du plaisir, doucement tu enlevas ton sourire, ne prenant presque plus cet air amuseur, tu avais vu ton blondinet avec un regard sévère, bien trop pour ce genre de chose, tu semblais plus sérieux, alors c'est avec douceur que tu lui donnas un simple petit baiser, posant simplement tes lèvres sur les siennes, un baiser chaste, mais tu ne pouvais faire que ça vu l'état du blond.
▬ Te voir en colère m'effraie un peu... Mais me savoir auprès de toi me rassure aussi, je préfère être là que d'être avec un inconnu qui aurait profité de moi sans vergogne.
Disais-tu de ta voix douce, encore un peu perdu, hésitant, pourtant ton corps réclamais sans cesse cette dose, tes hormones en ébullition, tu n'arrivais plus à te contenir.
ALEX LAUZON #96C254
KENNETH LEDGER #77B5FE
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Sam 30 Mai - 4:32
Alex Lauzon
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Sam 30 Mai - 17:46
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Ta respiration devint rapide, tu expirais l'air d'une façon brutale, soulevant ta poitrine d'une façon anormale. Tu étais à quatre pattes sur le blond, tu rampas vers lui d'un air affamé, jouant de tes épaules tel un félin en pleine chasse, un déhanchement presque malsain avant de te poser subtilement sur le blond, ton corps étalé contre le sien, le contact de sa peau contre toi te fit comme un choc électrique, provoquant des frissons incessants se prolonger le long de ta colonne vertébrale, t'approchant de son cou pour lui offrir un baiser, tes lèvres encore humides posée contre cette peau brulante, puis tu posas le bout de ta langue à la naissance de son cou, laissant effleurer celle-ci jusqu'à ses lèvres dont tu posa un baiser langoureux.
▬ Kenny....
Disais-tu de ta voix suave, voulant réanimer le fauve aux couleurs ensoleiller, tu sentis sa respiration saccadée sur ta peau, tu lui offris un baiser au coin de sa mâchoire avant de diriger tes lèvres contre son oreille que tu collas d'une façon bien calculée.
▬ On continue de jouer n'est-ce pas ? Tu devrais écouter ton corps au lieu de ta tête, je vois clairement que celui-ci en veut plus non ?
Disais-tu de ta voix perfide, tel un serpent qui sifflait dans ses oreilles, de ta voix presque envoutante, tu essayais de l'hypnotiser tel le serpent que tu avais vu dans un film, mais le simple son de ta voix semblait suffire, celle dont tu donnais une certaine envie. Subtilement tu caressas le corps du blond, devenant plus explicite dans tes gestes. Tu plongeas même tes prunelles dorées dans ce regard céleste, donnant un regard plein de désir, un sourire charmeur aux lèvres.
ALEX LAUZON #96C254
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Dim 31 Mai - 2:53
Alex Lauzon
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Lun 1 Juin - 16:48
You saw yourself when drank you ?
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Ton corps collé contre le sien, tu profitais de cette chaleur enivrante que tu offrais le blond, laissant un frisson courir le long de ta colonne vertébrale. Tu semblais déborder d'énergie comparer à lui, tu sentis son souffle court, essayant de se remettre de ce plaisir que tu lui avais offert précédemment. Tout semblait t'offrir cette chance d'aller jusqu'au bout, tu apprécias cette hésitation que tu vis dans ses yeux, le fixant inlassablement de tes yeux dorés. Tu savais très bien qu'il allait reprendre ses mauvaises habitudes, s'arrêter, pourtant tu n'en avais pas envie, tu avais tes hormones en ébullition qui te donnaient un désir incontrôlable.
▬ N-non. Il est fatigué. Je suis fatigué. On devrait pas aller plus loin, tu sais. Vraiment pas.
Cette simple phrase t'agaçait, tout s’écroulait en toi,, toujours emporté par l'effet de l'alcool, laissant tes expressions changer pour laisser tes vraies humeurs se montrer, tu semblais en colère contre le blond qui stoppa net à toutes tes envies, toi qui étais bien partie et lui qui semblait apprécier ce que tu lui avais fait, non, il voulait vraiment pas de toi, comme si tu le répugnais et c'était surement ce qu'il ressentait, tu étais sale, répugnant, te répétant ses mots à tout vont dans ta tête, tu sentis tel un poignard s'enfoncer dans ton cœur; martelant celui-ci à chaque mot que tu te répétais. Tu mordis ta lèvre inférieure, laissant un infime filet de sang couler contre celle-ci, tu semblais retenir cette colère qui était en toi, tel un gosse capricieux, tu aurais tellement voulu piquer ta crise devant lui. Puis voilà que tu sentis un tissu séparer vos deux corps, tel un mur. Tu jetas un rapide coup d’œil en constatant qu'il c'était recouvert pour appuyer ses mots, tu ne pouvais plus rien apprécier, laissant ton corps se refroidir peu à peu.
▬ Je t'ai dit que je voulais pas faire plus que... ça. C'est trop bizarre. T'es mon pote, putain ! On devrait pas faire ça entre potes !
Tu baissas un peu la tête, évitant son regard, tu semblais trembler de rage. Tu voulais tout sortir, prêt à exploser à tout moment. Mais tu restas calme une nouvelle fois, tu n'avais pas la force, ni le courage de montrer ta rage, ni de t'obstiner d’ailleurs. Pour une fois tu allais abandonnée ce combat qui semblait pourtant perdu d'avance, mais tu n'allais pas partir de la bataille comme ça, loin de là cette idée, tu allais lui lancer tes piques, le transpercer avant de t'enfuir au loin. Si ce n'était pas lui, alors se serait quelqu'un d'autre. C'est ce que tu te disais à contre cœur.
▬ Je vois. Alors tu utilises l'excuse du pote. C'est vrai qu'un pote tu peux pas, mais si c'était une pote alors là tu m'aurais sauté dessus sans aucun remords. Si tu ne peux pas plus, alors je vais voir ailleurs.
Tu semblais jouer ta dernière carte, laissant simplement tes émotions prendre le dessus, lui envoyant presque des piques, tu allais même lui adosser cette faute, cette responsabilité, mais quand tu étais bourré, tu dis souvent des conneries, car comme tout gosse qui n'a pas eu ce qu'il voulait, tu faisais un caprice, crisant comme tu pouvais pour avoir ce que tu voulais.
▬ De toute façon c'est de ta faute, tu m'as fait boire. Moi qui ne voulais plus être dans cet état de merde.
Quand tu étais comme ça, tu te sentais tellement répugnant et dégelasses, mais tu semblais tellement en manque en ce moment, tu voulais simplement être aimé par un garçon, même si c'était une forme d'amour des plus dégelasse, une simple caresse pourrait même te suffire. Le blond c'était laisser faire tel un pantin, mais toi, tu avais presque rien senti, seule une petite satisfaction de le voir se lâcher avec toi, mais tu aurais voulu une certaine participation au moins, mais bon, qui voudrait d'un corps comme le tien ? Surement personne, tu étais tout simplement trop répugnant, pourtant tu n'arrêtais pas de te dire le contraire, devenant presque narcissique. D'un geste vif tu te redressas, t'enlevant même du lit, toujours aussi nue, cherchant de tes yeux dorés ce que tu cherchais, ton boxer. Tu ne voulais pas partir, au contraire, tu te sentais en sécurité ici, tu voulais simplement lui dire ça, espérant qu'il te rattrape. Une fois le tissu retrouvé, tu l'enfilas assez vite, puis tu retournas ta tête pour le fixer, disant de ta voix gamine ainsi que ton regard boudeur.
▬ Trouillard !
Simple pique que tu lanças avant de t'avancer vers le lit, tu glissas ton regard sur le lit, les draps, évitant de croiser son regard, non, tu voulais plus le voir pour ce soir. Tu étais assez frustré comme ça pour cette soirée, il t'avait même pas touché et cela semblait te rendre hargneux. Alors tu t'installas sur le lit, allonger sur le côté en fixant le mur, dos au blond, tu voulais bouder dignement, même si tu commençais à avoir mal au bas du ventre, tes hormones marchaient encore à plein régime, tu semblais presque en souffrir. Souffle court, respiration rauque, tu gigotais encore d'envie en fixant inlassablement le mur, soirée pourrie pour toi, même si tu avais pu donner un peu de plaisir à quelqu'un, tu avais même pu voir le blond nu, mais tu ne voulais plus y penser, cela te donnait encore plus de souffrance qu'autre chose.
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Mar 2 Juin - 1:26
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Mar 2 Juin - 3:09
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Tu fixais inlassablement le mur, comme si quelque chose allait sortir de celui-ci, mais c'était la seule chose qui te calmait, toi qui souffrais en silence, gigotant de plus en plus pour essayer de te calmer, tu voulais tellement dormir, ainsi tu pouvais éviter la douleur, mais voilà, tu semblais vacciner contre le sommeil, ton corps ne voulait pas dormir, non, tu étais bien trop excité pour ça. Puis tu boudais comme un con là, doucement tu te remémorais ce que tu avais osé dire, ses piques que tu avais balancés sur le coup de la colère, l'alcool facilitait le tout, mais cela ne te donnait pas tous les droits. Tu te sentais profondément idiot, hésitant à pardonner envers celui que tu aimais bien, tu voulais pas le perdre juste pour une connerie pareille, après tout, tu l'aimais bien. Tu semblais presque inerte, tellement envahi par cette douleur incessante avec cette putain d'envie qui te lâchait pas, tu maudissais ton corps, taquinant ta lèvre inférieure avec tes dents. D'un coup tu sentis ses lèvres se poser sur ta nuque, un frisson parcourra ton corps, te rendant encore bien plus fébrile, tu étais prêt à exploser, agitant tes mains nerveusement dans le vide. Il se colla à toi encore une fois, tu allais lui gueuler dessus, montré les crocs car tu voulais pas qui te touche, sentir sa chaleur contre toi t'excitait plus qu'autre chose, augmentant ainsi la douleur, cette envie qui se calmait doucement repris son point initial, tu laissant un soupir de bien-être s’échapper entre tes lèvres entrouvertes.
▬ Me tourne pas le dos, Alex. Je suis désolé, reviens. ▬ Je suis désolé moi aussi, je t'ai dit tellement de chose méchante, je suis qu'un con égoïste, alors s'il te plaît laisse-moi... Tu m'excites de trop....
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Mer 3 Juin - 0:16
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Mer 3 Juin - 1:38
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ALEX LAUZON #96C254
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Jeu 4 Juin - 1:47
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Jeu 4 Juin - 13:25
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Il te répondit sans ménagement, t'offrant un doux, ses dents viennent même taquiner ta lèvre inférieure, là mordillant afin de clôturer ce baiser passionné. Tu lâchas encore un soupir libérateur, essayant d'évacuer ce plaisir constant qui restait encore en toi, provoquant d'infime spasme incontrôlable.
▬ C'était bon ? Je me suis pas trop mal débrouillé pour une première fois, hein ?
Encore sous l'effet de l'alcool, tu ricanas un bon coup en laissant un large sourire étirer tes lèvres, tu serras ton étreinte pour te coller à lui, tu semblais vouloir presque t'endormir dans cette position presque indécente, vos deux corps nus collé l'un contre l'autre, te calmant ainsi avant de lui répondre correctement.
▬ C'était... Affreusement bon... Tu as des mains en or...
Tu étais bourré, donc sans gêne, alors tu pouvais lui répondre franchement sans te soucier vraiment si cela se disait ou pas. Tu semblais encore en vouloir bien plus de lui, mais disons que Kenneth était incroyablement mignon et adorable alors tu voulais pas oser lui en demander plus, c'était déjà bien mignon de sa part de t'offrir ce genre de petit plaisir. Déjà tu étais comblé de bonheur, entièrement satisfait de cette belle nuit, tu aurais bien voulu ne pas l'oublier celle-là, quoique, il vaille mieux que tu oublies, même si tu aimais ça, tu n'étais pas du genre à sauter directement dessus, tu seras surement gêné de voir ton pote comme ça, tu n'aurais surement pas imaginé à faire ça avec lui, d'ailleurs tu te disais de ne plus jamais boire, plus jamais. Tu semblais ne plus vouloir le fixer, restant ta tête blottie contre sa nuque, les yeux mis-clos, tu commençais doucement à t'endormir, appréciant cette chaleur qui t'entourait, puis cette fragrance qui enivrait tes narines, sans vraiment le comprendre tu semblais te bercer grâce au corps de ton blond
▬ Eh non, désolé. Enfin... ça me tracasse un peu mais j'ai pas à demandé ça, j'crois. Même si je l'espère. ▬ J'suis bourré... Il y a plus de logique quand je suis comme ça, je fuck la logique !
Tu avais une voix endormie, commençant vainement à respirer doucement, pendant que le plaisir s'évacuait doucement de ton corps pendant que le blond t'enlace en s'allongeant correctement, tu sentis pendant quelque petite minute son corps gigoter contre le tien, tu ne bougeas pas un seul centimètre, trop crever pour bouger et puis tu étais bien dans ses bras, affreusement bien, tu avais encore la tête qui tournait, tu semblais même voir des petits Kenny ou des étoiles, peu importe... Tu étais vraiment crevé sur le coup, tu étais rouillé, toi qui n'avais pas fait ça depuis un moment. Ses lèvres se posèrent sur ton front encore fiévreux, appréciant ce geste que tu répondis en offrant tes lèvres sur la naissance de son coup, faisant sortir ta langue de son entre pour goûter cette peau à la saveur inconnue, léchant celle-ci en savourant doucement ce goût sucré, une fois finie tu préféras jouer encore un peu, posant tes lèvres sur ce torse parfaitement imberbe et aux allures blanchâtres avant de t'y attaquer à coup de temps, mordillant soigneusement celle-ci pour lui offrir quelques traces violacées que tu suças pour augmenter la trace, une fois ton œuvre fini, tu posas simplement ta tête contre sa tune, laissant un soupir s'échapper de tes lèvres encore entrouvertes. Doucement le blond te caressait de ses mains douces, te berçant doucement pour t’amener dans les bras de Morphée, que tu voulais rejoindre avec plaisir. Il resserre ton étreinte avant de te murmurer.
▬ On devrait peut-être dormir, maintenant.. ?
Tu baillas un bon coup pour accepter en quelque sorte sa proposition, te lovant ainsi contre lui tout en ronronnant de plaisir qui semblais vouloir rester en toi. Tu t’adonnas au bras de ce Morphée dont tu ne connais pas le visage, mais qui semblais t'offrir ne sommeille que tu aimais, donnant un corps presque inerte au blond, les yeux clos, un sourire d'ange, un dernier soupir de bien-être avant de te laisser t'enfouir dans tes rêves interdit.
ALEX LAUZON #96C254
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Dernière édition par Alex Lauzon le Mar 9 Juin - 20:35, édité 1 fois
Kenneth Ledger
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Jeu 4 Juin - 18:53
wake up, new morning
kenneth & alex
Sa bouche et ses dents se referment sur ton torse mis à nu, laissant un témoignage de leur passage traduit par des marques violacées. Un demi-sourire sur les lèvres, tu le regardes faire avant de balancer ta tête en arrière et de soupirer, les yeux mi-clos. Les effets de la drogue mélangés à l'alcool te donne le vertige et une légère migraine. La pression de la tête du Drathem revient sur ta poitrine et tu sens ses cheveux chatouiller ta peau, laissant échapper un grognement d'entre tes lèvres entrouvertes. Tout tangue doucement autour de toi et t'as la désagréable sensation que tu vas chuter du troisième étage, que t'es posé au bord d'un toit. Funambule, tu retrouves ton équilibre mental, bercé par le sommeil qui lorgne sur ton corps affaibli. Morphée rode, félin en chasse, et te traque. Il attend le bon moment pour te sauter dessus. Et ça ne tarde pas. Balancement des hanches, des épaules, prise d'élan et saut concédé par des muscles puissants. Une cape noire, ondulante comme une menace, plane au-dessus de toi et s'abat brutalement sur ton être paralysé, comme un linceul. Dernier soupir, tu plonges. Nouvelle descente aux enfers, tu ne cherches pas à lutter contre les ténèbres. Ta conscience t'abandonne enfin.
Les rayons matinaux filtrent par les volets de ta chambre, venant ainsi chatoyer ta peau. La chaleur de ces derniers te réveillent doucement. Tes yeux papillonnent, le temps de s'habituer à la lumière et ton corps se raidit un moment pour s'étirer longuement. Traversé par de petits frissons plaisants, tu finis par éveiller ton esprit et ouvrir tout grands tes billes célestes. Elles se baladent, fouillent la pièce du regard avant de se poser sur quelque chose de vert enfoui sous les draps. Tu sembles perplexe un instant, relevant brusquement la tête. Celle-ci te lance violemment et t'ordonne par un mal de tête impitoyable de te recoucher immédiatement. Grimace, tu ne renonces pourtant pas, ta main attrapant la couette pour la tirer doucement, découvrant ainsi un visage familier. Instant d'hésitation, des bribes d'images jaillissent au même moment pour te bourrer le crâne sans pitié. À vrai dire, tu ne te souviens pas de tout, t'as des trous noirs un peu partout et t'es incapable de te remémorer parfaitement la soirée. Mais suffisamment pour savoir comment ça s'est terminé. Les marques qui couvrent ton corps de part en part ne font que confirmer ton hypothèse. Nouvelle contorsion de ton joli minois, tu ne veux pas te repasser ses images là en tête pour le moment, quelque peu... Embarrassé. Tes dents viennent taquiner ta lèvre inférieure alors que tes yeux sont toujours fixés sur la moue endormie du Drathem posée sur ton torse. Tu le regardes dormir, attendant sagement qu'il se réveille.
L'une de tes mains vient caresser gentiment ses cheveux pour glisser ensuite dans son dos, flattant sa peau laiteuse pour l'aider à se tirer de ses songes. Tu ne te risques pas à imaginer sa réaction quand il découvrira et se rappellera de tout... ça. Bien que tu en sois curieux. Au final, t'as plus ou moins appris cette nuit qu'il était habitué à se réveiller à côté d'un homme. Ou du moins qu'il avait déjà eu l'expérience. Quant à toi... Non, tu préfères garder le silence sur ce sujet.
Étouffant un bâillement, tu jettes un coup d’œil à la fenêtre qui te fait deviner l'heure. Il ne doit pas être loin de midi, l'astre étant quasiment à son point culminant.
electric bird.
Alex Lauzon
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Sujet: Re: You saw yourself when drank you ? • ft Kenneth Ledger Jeu 4 Juin - 22:50
You saw yourself when drank you ?
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Tu semblais tellement bien dans tes songes, mais une chose vint doucement te troubler, une douce sensation dans tes cheveux ainsi que ton dos, tu semblais te faire réveiller, pensant vainement à ton ancien mec, ce fut tel un instinct chez toi, te rappelant ses douces matinées dont il te réveillait avec ses gestes aussi doux que ceux que tu sentais en ce moment, laissant un large sourire étirer tes lèvres. Tu poussas un long soupir de bien-être en bougeant doucement tes hanches, doucement tu sortis de ta torpeur, laissant ton esprit revenir doucement. Tes yeux papillonnent le temps de s'habituer à l'éclairage de la pièce, ton corps se raidit doucement en t’étirant de tout ton long, poussant quelque soupir de bien-être pendant que des frissons plaisants traversais ton corps encore endormi. Tu finis par laisser ton esprit complètement éveiller, laissant un mal de crâne revenir doucement te prévenir que tu avais consommé quelque chose qui fallait pas, grimaçant assez vite avant de faire une moue mollassonne en fixant la pièce, de ta voix endormie tu murmurais ses simples mots.
▬ Drake. Pourquoi tu ma réveiller ? J'étais bien là....
Non en fait tu étais encore à moitié endormie, les yeux mi-clos. Doucement tu te disais que tu étais con, car ton ancien mec ne pouvait pas être à tes côtés, comme il n'était pas dans cette académie et puis il t'avait plaqué alors être dans son lit, dans ses bras te semblais peu probable. Doucement tu t'étiras encore tel un chat encore endormi, tu baillas un bon coup avant de pousser un long soupir de bien-être, quelque frisson te parcourra encore avant que ton esprit soit complètement éveillé, ouvrant tes yeux en grands, tu n'avais même pas capté qui serais à coté de toi, te retournant doucement pour tourner le dos à l'inconnue, tu fixas longuement la pièce, attends... Tu étais où là ? C'était clairement par ta chambre, tu étais à l'académie, bien, mais où ? Dans une chambre d'accord, tu passas inlassablement ton regard dans la pièce, plissant tes yeux pour mieux voir, mais rien, doucement ta vue redevenait normale et tu te retournas dans un étirement, sentant que ton corps semblait nue, tu avais fait quoi ? D'un coup un mal de crâne vint te chatouiller ton esprit, te donnant une vive douleur avant d'apercevoir un homme... NON....Doucement tu aperçois un homme à la chevelure blonde que tu connaissais bien... OH PUTAIN ! KENNY ! Tu semblais d'abord surpris en restant là à le contempler avant de sursauter d'un coup, te faisans basculer en arrière et tu tombas comme un con sur le sol, la tête la première, tu te remis de cette triste douleur que tu sentais pratiquement pas, tellement choqué de voir ton blond à coté de toi. Tu le fixas encore avant de t'apercevoir que tu étais complètement nue, tu paniquas tel un enfant, cherchant de tes yeux dorés un vêtement ou quelque chose pour cacher. Ta tête devint aussi rouge qu'un pokémon feu, grimaçant de gêne, tu te sentais terriblement honteux, par instinct tu lui cries quelques mots en bégayant de gêne.
▬ Ne... Ne... Ne me regarde pas !
Disais-tu d'un air gêner avant de trouver l'objet que tu cherchais, ton boxer que tu enfilas difficilement. Tu semblais tellement paniquer au point d'en être essoufflé, tu suffoques, aller, calme toi ! Doucement tu commençais à te calmer à inspirer et expirer... Tu essayais de te souvenir de quelque petite chose, mais rien à faire, c'était le trou noir, tu te souvenais de rien, un vrai trou noir, seulement un vague souvenir de l'avoir embrassé, merde... Tu avais bue... Mais quel con ! Quel con ! Timidement tu t'approchas de lui, tu t'assois calmement sur le lit, tu remarquas ainsi les marques sur ta clavicule, ton cou ainsi que tes épaules, te rappelant vaguement de ses lèvres posées sur toi, mais merde... Tu avais fait quoi ? Tellement gêné que tu cachas ton visage avec tes mains, tu voulais pas le voir, en plus il semblait nu, ce n'était pas bon, doucement tu parlas à une vitesse folle, bégayant quelques fois.
▬ Je... Je sais vraiment désoler Kenny ! On a fait quoi ? S'il te plaît dis-le-moi ! Je me souviens de quelques trucs... Mais le reste semble dans un trou noir....
D'un geste vif tu enlevas tes mains en lâchant un soupir agacé, tu te maudissais, tu n'étais qu'un terrible idiot ! IDIOT ! Tu plaquas ta main contre ton front, pour ainsi te traiter d'idiot, tu avais vraiment tout foiré sur le coup. Non ce n'est pas possible, Kenneth aime les femmes, ça devait être un rêve, alors tu te tiras d'un coup tes joues, te faisant mal au passage, mais non, ce n'était pas un putain de rêve ! La réalité ! OMG ! Tu n'y croyais tout simplement pas, mais la question te brulait les lèvres, vous aviez fait quoi ? Enfin...il semblait nu et toi aussi, tu n’osais pas vérifier, voir son corps semblait te gêner. Tu le fixas un long moment avant de crier de toutes tes forces, poussant un hurlement, ça voulait sortir et ça te faisait du bien, te frottant même ta tête, tes cheveux ébouriffés maintenant, tu laissas ton corps tomber en arrière, t'allongeant ainsi sur le lit, tu te retournas pour être allongé sur le côté et être ainsi en face de ton blond, tu le fixas longuement avant d'être gêné, faisant une mine timide avant de dire d'une voix assez basse.
▬ Kenny... On n'a quand même pas fait ça ? Enfin tu vois... On est tous les deux nues... Je me pose la question... Je n'ai pas osé te faire ça ?
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